(kiss me like you wanna be loved)

nom complet ≌ Jules Adnan Thuault. Ce qu'il déteste son nom, trop lié à son père. Il voudrait le renier mais d'un autre côté, il sait qu'il réussira à sauver ce nom que son père avait sali. âge & date de naissance ≌ il y a vingt cinq ans, un certain 3 janvier. signe astrologique ≌ capricorne.  origines & nationnalité ≌ Nationalité Française, mais des origines italiennes dans le sang de par sa mère. job ou études ≌ Photographe et propriétaire de son propre magazine de photographies, de mode et de conseils. orientation sexuelle ≌ Il admire la beauté féminine plus que tout au monde. Mais il y a ce quelque chose de différent qui l'attire parfois chez les hommes. statut matrimonial ≌ célibataire. situation familiale ≌ Trois petites soeurs dont une jumelle. Une mère qu'il va voir tous les jours. Un père absent avec qui il a coupé les ponts depuis qu'il a abandonné la famille pour une autre. situation financière ≌ Il se débrouille plutôt pas mal, disons qu'il est dans la moyenne mais qu'il commence à pas mal s'enrichir avec son magazine qui fonctionne de mieux en mieux (€€€) groupe ≌ tigre avatar ≌ nicolas simoes

Ca a toujours plus ou moins était la galère, à la maison. Son père accumulait les conquêtes, a fini par partir avec une autre après avoir promis une énième fois qu’il arrêterait ses conneries. Adnan, il a dû gérer la dépression de sa mère et l’éducation de ses petites sœurs, c’était le seul homme de la maison, celui sur qu’il fallait compter alors qu’il n’était encore qu’un ado. (-) Sa famille reste la chose au monde la plus importante pour lui. Il rend visite à sa mère presque tous les jours, s’inquiétant toujours de sa santé, et ne lâche jamais vraiment ses sœurs du regard. Elles sont ses petits bébés, il refuse que qui que ce soit leur fasse du mal. Surtout elle, sa sœur jumelle, avec leur relation aussi volcanique que fusionnelle.   (-) ll a arrêté les études jeune, après le bac, parce qu’il voulait aider financièrement sa mère à joindre les deux bouts. Il a accumulé les petits boulots de serveurs ou barmans jusqu’à trouver sa véritable passion en la photographie. (-) La photo, c’est arrivé comme ça dans sa vie, sans qu’il ne puisse s’y attendre. On lui a proposé de poser, parce qu’il avait une gueule d’ange et aujourd’hui, c’est lui qu’on retrouve derrière la caméra. Il est amoureux de l’art, des images, de la beauté des femmes, surtout. Il ne se lassera sans doute jamais de les prendre en photo. (-) Il a d’abord créé son blog, puis son propre magazine mensuel « amanti della vita » ; Des femmes, des couples, des instants de bonheur … Des photos toutes plus belles les unes que les autres qui peuvent faire rêver, voyager. Sa sœur collabore en écrivant des articles, des conseils toujours bien pesés : c’est un magazine qui célèbre l’amour, la beauté, la vie … la belle. (-)  C’est vrai qu’il aurait pu détester l’amour, la vie, en voyant son père tromper sa mère, en voyant sa mère dévastée et dépressive. Mais au contraire, Adnan il a envie d’être heureux et surtout de rendre heureux les gens qui l’entourent. Limite c’est pas lui l’important, c’est surtout les autres. (-)  Adnan, c’est bien le mec qui ne fera jamais de mal à une femme, il a trop vu souffrir sa mère pour oser faire ça à une autre. Il les respecte, admire leur corps et leur beauté. On pourrait presque le croire gay, parfois, parce qu’il peut être extrêmement proche d’une femme sans pour autant tenter quoi que ce soit ; très tactile, il peut dormir dans un lit sans la toucher, danser coller serrer sans pour autant vouloir la sauter. Surtout, il ne veut faire de mal à personne et ne jamais prendre une femme comme objet. (-)  L’ironie du sort, c’est qu’il ne sait pas résister aux femmes : quand une montre qu’elle veut de lui, il n’est plus capable de taire ses envies. Il reste un homme, finalement.   (-) Il rêve d’une belle relation, d’une vraie. D’une vie de famille, d’une grande maison, d’enfants qui courent dans le jardin et même d’un petit chien. Il veut épouser une femme et la rendre heureuse. Si ses histoires d’amour ne l’ont pas encore amené à ce but, il déteste rester en froid avec une femme qu’il  a aimé. Pour lui, même si ça n’a pas marché, une femme aimée reste et restera toujours une partie de sa vie. (-)  Il est toujours là pour les gens qu’il aime, n’importe quand et est d’ailleurs plutôt protecteur et possessif. Par contre, quand on le déçoit il est plutôt très rancunier. (-) A part l’art et la photographie, il a pas mal de passions, notamment le sport. Il court presque tous les jours, nage, joue au foot. Puis il aime bien profiter de la vie, s’amuser. (-)  

Adnan il est né, un matin de janvier. Il faisait froid, ce jour-là, dans les rues de Lyon. C’était sans doute un joli cadeau d’hiver, le premier d’une série de quatre enfants, jumeau d’une petite puce née le même jour que lui. Sans doute que ces enfants-là, ils auraient dû réussir à réunir le couple des parents qui battait déjà bien de l’aile avant l’arrivée du petit brun. Mais voilà, la vie, ça ne marche pas comme ça. La naissance d’un enfant, ça créé sans doute du bonheur et un lien nouveau, mais ça créé aussi de nombreux problèmes, des disputes et des désaccords ; tout ce qui avait fini par détruire définitivement leur couple. Du plus loin qu’Adnan s’en souvienne, il avait toujours vu son père courir les rues après d’autres femmes, rentrer en pleine nuit en ne s’excusant même plus, recevoir des appels douteux auxquels il finissait même par répondre, devant sa femme, ses enfants : ses tromperies n’avaient plus de secret pour personne.  Il disait toujours que c’était la dernière fois, qu’il allait s’arrêtait, qu’il ne recommencerait plus. Naïvement la mère, elle le croyait. Adnan lui, ça faisait bien longtemps qu’il ne le croyait plus. Il finit par le détester un peu plus chaque jour, à chaque nouveau mensonge, à chaque nouvelle connerie. Il n’était pas digne de sa mère, il n’était pas digne d’une femme : Adnan aurait voulu le secouer, lui interdire d’exister, de continuer à faire du mal à sa femme qu’il aurait dû chérir. Puis il finit par partir, avec une autre. Comme ça, du jour au lendemain. Sa mère ne s’en est jamais vraiment remise, enchainant les états dépressifs et les boites d’antidépresseurs. Mais Adnan il a été là pour elle comme pour ses petites sœurs. Il est devenu l’homme de la maison, il les a protégées et choyées, voulu le meilleur pour toutes. Sa mère, il a essayé de la secouer, de la faire sortir, de la rendre heureuse du mieux qu’il pouvait ; son sourire était sa plus belle récompense. Il se souvient du nombre de fois où il a voulu la prendre en photo, où elle refusait parce qu’elle ne se trouvait pas assez jolie, trop vieille, parce qu’elle n’avait plus confiance en elle : il lui a redonné goût en elle-même, Adnan, avec ses jolis portraits, l’art qu’il avait de tout rendre plus beau, de tout sublimer en un clic sur l’appareil photo. Il croit en beaucoup de choses, et il croit notamment au pouvoir de la photographie, il est persuadé que ça peut réellement toucher, faire sourire, donner de l’espoir. Ce couple qui se sourit sur cette photo, il respire le bonheur, il permet de croire encore un peu en l’amour, que ce sentiment existe bien quelque part.
Adnan c’est l’heureux rêveur, le vrai gentil, le protecteur. Celui qui veut rendre tout le monde heureux autour de lui, qui sourit à qui veut bien le regarder, qui ne s’énerve jamais, sauf quand on s’en prend à quelqu’un qu’il aime réellement. Il vit de ce qu’il aime, il suit le cours de sa vie, attendant que l’histoire qui le fera vibrer frappe à sa porte, que la femme qui le rendra fou atteigne son cœur. Vingt-cinq années, il a toute sa vie devant lui pour continuer de penser qu’elle est belle, magnifique même.

pseudo/prénom ≌ Léa    âge/pays ≌ bientôt 19 ans ( le 10 mars), et le nord de la France   type de personnage ≌ inventé avis sur le forum ≌       autre ≌ première fois que je joue un mâle et pourtant je me sens déjà carrément dans le personnage, finalement je vais peut être préférer